Faire résilience, c’est savoir et faire changer vite
Face aux pressions réglementaires, économiques et concurrentielles, de confiance numérique, de sobriété numérique, la crise sanitaire est venue densifier plus encore l’injonction au SI et l’organisation à faire résilience, soit à s’adapter rapidement. Faire résilience, c’est savoir et faire changer vite. Et réussir votre projet dépasse l’excellence technique et opérationnelle : c’est aussi réussir le changement avec les métiers, les décisionnaires et les utilisateurs.
Une histoire humaine et organisationnelle
La réussite du changement est donc une histoire surtout humaine et organisationnelle qui conditionne le succès du projet qu’il soit technique, opérationnel ou normatif. Les collectivités, conscientes de l’écart entre les besoins constants des usagers et les pratiques internes de gestion, font le choix de l’acquisition d’un outil pour améliorer les performances des services. Elles omettent souvent de répondre aux véritables enjeux organisationnels : revoir le mode de fonctionnement des services, l’organisation du travail au sein des services ainsi que la nature même des tâches confiées aux agents. L’impact sur le métier des agents est bien la dimension humaine. Dans les entreprises, l’expérience client est facteur de différenciation des produits et services. Cette exigence stratégique amène les métiers à actualiser une offre pour rester en phase avec les attentes du marché. Cet alignement de l’opérationnel sur le stratégique risque d’échouer sans la conduite du changement auprès des acteurs du changement, (DSI, métiers, support et clients finaux).
Une démarche empirique et coconstruite
Nous intégrons la conduite du changement à l’opérationnel d’un projet, en amont et en aval.
1. Dimensionner le changement par une étude d’impacts auprès des équipes métiers et des fonctions support. Selon ce dimensionnement, une démarche empirique et coconstruite sera conduite en tenant compte du contexte terrain et du niveau de maturité.
2. Compléter le modèle de Kotter basé sur les 4 phases (préparer, engager, réaliser et ancrer le changement) par l’expérimentation partagée durant la réalisation du projet en utilisant les outils de l’intelligence collective (l’implication par la pratique de type bac à sable).
3. Accompagner des utilisateurs ambassadeurs dans leur rôle d’essaimage du vécu du changement au sein d’une communauté apprenante. Ce dispositif apprenant collaboratif complète le dispositif de formation et de transfert de compétences.
4. Piloter le changement par la mise en place et le suivi d’indicateurs du changement sur l’ensemble des phases.
Renforcez la cohésion par la connaissance
Réussir un projet c’est donc répondre aux enjeux de changement qu’il porte, avec à la clé :
• Réussir vos projets opérationnels : un service et ses outils utiles, utilisables et utilisés par l’ensemble des utilisateurs
• S’assurer de la meilleure expérience d’utilisation des nouveaux outils pour accélérer le temps d’adoption et la confiance numérique
• Maintenir un haut niveau de connaissance des outils par une dynamique de capitalisation et de transfert de compétences, et réduire la déperdition de valeur
• Faciliter l’amélioration continue.
• Renforcer votre capital marque employeur.
Avec Infhotep, envisagez le changement comme le vécu de ce que les collaborateurs ont expérimenté et appris durant la réalisation du projet. Renforcez la cohésion par la connaissance, capital immatériel de votre organisation.