A l’heure de la mutation numérique des organisations, le cabinet Infhotep a décidé de mettre à l’honneur en ses locaux quatre jeunes artistes: Simon Gosselin, Aurian Guérard, Benjamin Ottoz, et Adeline Matte.
Ces quatre artistes ont en commun leurs études d’arts à Lille et une passion pour la symbolique de la mémoire, de l’organique et de la machine.

Simon Gosselin
Photographe indépendant né en 1989, Simon Gosselin nous propose des images représentant essentiellement des acteurs sur différentes scènes de théâtre.
Simon apprécie tout autant de photographier des paysages aux ciels bas, des gens qui se déguisent, mais aussi des foires, comme le démontre cette photographie du Mistral.

Aurian Guerard
Artiste peintre né en 1987, Aurian Guérard se consacre entièrement à sa peinture, qui s’articule autour de l’organisation de la mémoire. Il est tout aussi à l’aise dans la peinture d’objets inertes que dans la conception de portraits vivants.
En 2010, il fut le plus jeune artiste à exposer au Salon de Montrouge.

Benjamin Ottoz
Artiste peintre international, Benjamin Ottoz situe son art à la frontière du sensé : là où il y a incertitudes et ambiguïtés, là où les mots n’ont que des détours à prendre, là où la production d’objets, d’images en tant qu’espaces sont propices au surgissement de la réflexion.
En 2015, il reçoit la bourse d’aide individuelle à la création pour son projet « Serendipity », exposé ici-même.

Adeline Matte
Art-thérapeute née en 1987, Adeline Matte donne corps à des manifestations organiques. Ses peintures se situent à mi-chemin entre le végétal et l’animal. Ses œuvres pratiquent l’ellipse tout en provoquant le regard et l’imagination.
En 2014, elle a publié « Les Avortons » aux Éditions du Cygne, un roman poétique qui traite de sa démarche artistique.